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Exposition de Pékin à Lhassa, d'Evariste Huc (1813-1860) à aujourd'hui

Les coulisses de l'exposition


EXTRAIT DE TEXTE DU PANNEAU :


Qui êtes-vous ?

Stéphanie Huc (1974), sage-femme, passionnée de voyages.
Jean Guillemot (1973), photographe/réalisateur, ancien enseignant des Sciences de la Vie et de la Terre.

Pourquoi avoir réalisé ce trajet ?

Fanny - Un intérêt profond pour les ouvrages d’aventure, et la découverte chez mes parents du livre d'Evariste Huc. Ce voyage a mûri durant toute ma jeunesse. Partir sur les traces d'Evariste Huc, demeurait mon objectif principal, avec un même nom de famille et des ancêtres peut-être communs.

Jean - Mise à part le défi que représentait ce voyage, je souhaitais entreprendre un projet pédagogique avec des classes de primaire et de collège. Tout au long de notre trajet, je diffusais régulièrement sur notre site (http://education.bleu-outremer.net), des articles, des musiques, des vidéos sur différents thèmes : l’histoire, la civilisation chinoise, la géographie, la cuisine, etc.
Les professeurs se connectaient sur le site internet et utilisaient cet outil avec leurs élèves. C'était un moyen pour eux de voyager avec nous et de découvrir la Chine de nos chemins.

Quelle a été la préparation pour ce voyage ?

Fanny - On ne part pas sur les traces d'un grand aventurier impunément ; cela demande une bonne connaissance du personnage et de son expédition. Un an de préparation et de recherches a été nécessaire pour entreprendre ce voyage et reconstituer le trajet d'Evariste Huc.

Jean - En parallèle, la mise en place du projet pédagogique (rencontre des classes, mise en place et gestion du site internet) a nécessité plusieurs mois de réflexion avant et pendant le trajet.
Au cours des cinq mois de voyage, nous avons diffusé plus 56 articles, 400 photos, 18 vidéos et musiques.

Quel équipement avez-vous emmené ?

Fanny - Nous avions deux VTT en aluminium (achetés à Pékin) équipés de sacoches et une carriole pour enfant (pour porter le matériel volumineux).
Nous nous répartissions les 70 kg de bagages : une tente, deux sacs de couchage (- 30 °C), quatre tee-shirt synthétiques, deux vestes et pantalons de ski, deux vestes coupe-vents, un panneau solaire souple, un ordinateur portable, une caméra DV, un appareil numérique, un appareil argentique, 120 rouleaux diapositives, etc.

Qu’elle a été la difficulté majeure de ce voyage ?

Fanny - Les courses poursuites avec les chiens tibétains. Ce sont de véritables mastodontes dopés aux stéroïdes, terreur des cyclistes du plateau tibétain...

 





 

Toile thématique :
Conditions de réalisation du voyage et des photographies

Découvrez les détails de notre voyage et comment cette exposition a été réalisée .








 
Mosaïque de photos légendées






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